Le major qui n'a jamais trouvé sa maison

Dans la rubrique "Face à la poésie" du Journal littéraire, j'ai lu ma lettre non envoyée à Sándor Petőfi en hongrois.
Intimissimi

Intimissimi

Nous mentons si joliment au monde, / et à nous-mêmes, mais convaincus, du fond du cœur ! / La réalité nous prend sur le fait, et nous arme: / la plaie mutante, imaginaire, pompe des volts par milliers dans nos veines. / On approche de nous les lampes de Diogène.

Matin a San Francisco

Retourne-toi vers ce jour-là, / Fonds l’Acropole de la lumière en un secret, / fais tinter le châssis du temps, / une meute de rêves a pris son vol, échappe à ton toucher, / l’adolescent brouillard tremble devant tes muscles.
L’unique feur du douanier

L’unique feur du douanier

Debout, tenant sa fleur, son unique, en main, il est toujours à sa frontière, cet éternel douanier, attendant l’arrivée du train suivant.