le nouvel eldorado en europe s’avère être un nouvel esclavage qui ne dit pas la réalité Le Temps long
Patphil
Le Temps long
ILy a quelques années , faisant mes courses, je suis tombé sur deux ukrainiens( 35/40 ans) , travaillant pour une entreprise anglaise , en France !…. Nous avons parlé du pays , de la famille , j’ai vite compris que ces deux pauvres types n’étaient pas là de leur plein gré , que c’était des gagne petit et que leur sort s’apparentait à une forme d’esclavage , des vies brisées , dont seule profitait l’entreprise anglaise Le Temps long
Voronine
Ce sont toujours les enfants qui paient les errances des adultes…
Ce sont toujours les enfants qui paient les errances des adultes…que ce soit dans les guerres ou l’immigration économique qui voit arriver des bateaux remplis à craquer mais avec peu de femmes et enfants. Ces hommes qui fuient leur pays laissent leur progéniture se débrouiller et le regroupement familial…..La plupart sont d’obédience religieuse islamique radicale alors les droits des femmes ne sont pas la priorité et les enfants sont les victimes collatérales de ces migrations débordantes. Le Temps long
Jotglars 66
Un grand roman !
La dernière fois, en revenant de la Porte de Fer et de Krassó-Szörény en octobre, j'ai reçu le dernier livre de Zoltán, While I Think I Exist, à la Maison actuelle.
Je l'ai lu avec beaucoup d'intérêt, littéralement jusqu'au bout, j'avais du mal à le poser.
Une fois de plus, je remercie Zoltán et Jelen Publishers pour ce livre. J'ai eu l'impression de lire une histoire imprimée en ligne. Un grand roman !
Un bon roman offre des possibilités infinies d'interprétation et de lecture. Le Regal est un tel roman. L'une des citations de Kinga Lázár donne particulièrement à réfléchir. "Comment me comporterais-je à leur place ?" La question est posée par Tamás, le personnage principal. Oui, cela vaut la peine d'aborder les personnages de ce point de vue et de se poser la question : Comment me comporterais-je à leur place ?