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Tant que je penserai être

Tant que je penserai être

Sans doute le plus grand roman contemporain hongrois sur l’argent, le sexe et le pouvoir. Zoltán Böszörményi met en scène des personnages à la fois si simples et si mystérieux dans une intrigue haletante évoquant la pureté d’un polar.
Le temps long

Le temps long

Quand je ferme les yeux, je vois Maman. Toujours elle. Personne d’autre qu’elle. Tata dit qu’elle est maigre et moche. Moi je trouve pas. Elle a les cheveux courts, un peu bouclés. Et sa bouche est si jolie quand elle sourit ! Elle a les yeux rieurs. Etincelants, bleu ciel. C’est ce que j’aime le plus. Ils me plaisent encore plus que les rayons du soleil. Mamie, aussi, n’arrête pas de dire du mal d’elle. Souvent, elle m’engueule, comme si c’était ma faute, si « ta truie de mère t’a encore larguée, elle me refile le bébé pour aller faire la pute, et maintenant qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi, malheureuse ?! Ça va être à moi de te donner à manger, de t’emmener à l’école, de te laver, de t’habiller ? »
Mirage de notre sort

Mirage de notre sort

Parlant tantôt de politique, tantôt d’amour ou d’esthétique, mais avant tout de la condition humaine et du mystère de l’être, la poésie de Zoltán Böszörményi a la langue bien pendue, ne se réfugiant jamais dans des formalismes prudents.

La peau de rien

La poésie de Zoltan Böszörményi tente de restituer une identité à l'objet. Il joue de l'érosion du temps et recherche sa place dans l'instabilité des systèmes établis.